Fenbendazole : ce qu’il faut vraiment savoir

Le fenbendazole : un espoir pour la santé humaine ?

Fenbendazole : mécanismes, dosages et protocole complet pour un soutien anticancer naturel

Le fenbendazole — souvent nommé Fenben ou commercialisé sous le nom Panacur — appartient à la famille des benzimidazoles.

Utilisé depuis 1974 comme antiparasitaire vétérinaire, il bénéficie aujourd’hui d’un intérêt croissant pour son potentiel anticancéreux.

Plusieurs observations et analyses préliminaires suggèrent en effet que ce vermifuge largement utilisé pourrait être repositionné dans l’accompagnement thérapeutique du cancer, ses mécanismes d’action rappelant ceux de certaines chimiothérapies comme le Taxol ou les alcaloïdes de la vinca.

Tolérance et caractéristiques

Selon les données toxicologiques disponibles, le fenbendazole est généralement bien toléré chez l’être humain, bien que les études cliniques restent limitées.

Il se présente sous forme de poudre blanche peu soluble et affiche une absorption digestive relativement faible ; cependant, sa biodisponibilité augmente lorsqu’il est consommé après un repas riche en graisses. Lors d’une supplémentation hors repas gras, une cuillère à soupe d’huile d’olive vierge est toute indiquée pour augmenter la biodisponibilité.


Comment le fenbendazole agit-il sur les cellules cancéreuses ?

Initialement conçu pour bloquer la formation de microtubules dans les parasites via la β-tubuline, le fenbendazole a montré des effets comparables sur les cellules tumorales.

Plusieurs mécanismes anticancéreux sont actuellement étudiés :


1. Induction de l’apoptose

Le médicament interfère avec la β-tubuline, ce qui provoque un arrêt du cycle cellulaire et mène à la mort programmée des cellules.

Le blocage de la polymérisation des microtubules chez les parasites comme dans les cellules cancéreuses humaines est aujourd’hui bien décrit dans la littérature scientifique.


2. Réduction de l’utilisation du glucose

Les tumeurs consomment le glucose jusqu’à 200 fois plus rapidement que les cellules saines — un phénomène connu sous le nom d’effet Warburg.

Le fenbendazole contribue à priver les cellules cancéreuses de carburant en :

  • réduisant l’absorption du glucose,
  • diminuant les transporteurs GLUT (GLUT1, GLUT4),
  • inhibant l’Hexokinase II, enzyme clé de la glycolyse tumorale.

La restauration de la protéine p53 participe également à cette régulation, contribuant à freiner l’approvisionnement énergétique des cellules malignes.


3. Réactivation possible du gène p53

Même si ce point nécessite encore des études plus approfondies, plusieurs travaux indiquent que le fenbendazole pourrait stimuler p53, l’un des principaux gènes suppresseurs de tumeurs.

À titre d’exemple, les éléphants possèdent 20 copies de p53, ce qui expliquerait en partie leur faible incidence de cancer, contrairement à l’humain qui n’en possède qu’une seule.


4. Aucune chimiorésistance connue

Contrairement à de nombreux traitements anticancéreux qui perdent en efficacité à cause des pompes d’efflux P-glycoprotéines, le fenbendazole n’est pas expulsé par ces mécanismes.

Résultat : les cellules cancéreuses ne développent pas de résistance connue, et le médicament continue d’exercer son action sans perte d’efficacité — un avantage majeur par rapport au paclitaxel, à la vincristine, au docétaxel ou à la vinblastine.


5. Sensibilisation à la radiothérapie

Le fenbendazole pourrait également augmenter la sensibilité des tumeurs à la radiothérapie, un effet déjà observé avec les taxanes.



Protocoles et dosages : guide complet


Protocole initial – Complément du traitement du cancer

  • Fenbendazole 222 mg : 1 capsule 3 jours par semaine, après un repas gras. Pause de 4 jours, puis reprise.
  • Vitamine E 800 UI : 1 prise quotidienne après un repas.
  • Curcumine 600 mg biodisponible : 1 capsule deux fois par jour (après petit-déjeuner et déjeuner).
  • Huile de CBD 25 mg : 1 à 2 gouttes sous la langue avant le coucher.
  • Apport multi vitaminique optimisant le fenbendazole

Protocole renforcé – Version quotidienne

  • Fenbendazole 222 mg : 1 capsule tous les jours, après un repas gras.
  • Vitamine E 800 UI : quotidienne.
  • Curcumine 600 mg : deux fois par jour.
  • Huile de CBD 25 mg : chaque soir.

Ce protocole est souvent présenté comme bien toléré chez les personnes n’ayant pas de pathologie hépatique ou rénale.


Prévention des rechutes – Prophylaxie

Recommandations supplémentaires :

  • contrôle des marqueurs tumoraux tous les quelques mois ;
  • prévention de la charge hépatique,
  • imageries annuelles ;
  • espacement progressif des contrôles après cinq années sans récidive.

Prévention du cancer

  • Fenbendazole 222 mg : 3 prises par semaine, suivies de 4 jours d’arrêt, pendant 10 semaines.
    Puis pause de 10 semaines et répétition du cycle.
  • Vitamine E 800 UI : quotidienne.
  • Curcumine 600 mg : deux fois par jour.
  • Huile de CBD 25 mg : chaque soir, sous la langue.
  • Apport multi vitaminique optimisant le fenbendazole

Sécurité, tolérance et effets secondaires possibles

Dans l’ensemble, les benzimidazoles comme le fenbendazole et l’albendazole sont considérés comme peu toxiques. Toutefois :

  • Jusqu’à 5 % des utilisateurs rapportent maux d’estomac ou diarrhée en cas de doses trop importantes sans pause.
  • Les personnes souffrant d’insuffisance hépatique ou rénale sévère peuvent présenter une accumulation du médicament, d’où la nécessité d’adapter les doses.
  • Une utilisation prolongée et intensive peut entraîner de légères élévations asymptomatiques des enzymes hépatiques, généralement réversibles après deux semaines d’arrêt.

Pour soutenir le foie, beaucoup recommandent :

  • Chardon-Marie 250 mg, ou
  • Silymarine 150 mg par jour.

Le schéma 3 jours ON / 4 jours OFF vise justement à préserver la fonction hépatique, bien que certains utilisent désormais un rythme 5 jours ON / 2 jours OFF.


Conclusion : un potentiel thérapeutique qui mérite attention

Le fenbendazole suscite un intérêt mondial pour ses propriétés anticancéreuses multiples, sa bonne tolérance et l’absence apparente de résistance.

Bien qu’il reste nécessaire de disposer d’essais cliniques plus approfondis, les témoignages et résultats préliminaires encouragent une recherche plus active sur ce médicament longtemps cantonné à la parasitologie vétérinaire.


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Découverte d’un effet antitumoral inattendu du fenbendazole associé à des vitamines

fenbendazole associé aux vitamines

Une étude menée par Ping Gao, Chi V. Dang et Julie Watson, publiée dans Cancer Biology & Therapy (PMCID : PMC2687140, PMID : 19049251), a mis en évidence un phénomène surprenant : l’association du fenbendazole, un antiparasitaire couramment utilisé chez les rongeurs, avec un régime enrichi en vitamines, pourrait inhiber la croissance tumorale dans un modèle murin de lymphome humain.

Fenbendazole Molécule

Un antiparasitaire devenu sujet d’étude anticancéreuse

Le fenbendazole est un médicament anthelminthique fréquemment utilisé dans les laboratoires de recherche pour éliminer les oxyures chez les rongeurs. Sa popularité repose sur son efficacité, sa facilité d’emploi et son excellent profil de sécurité.
Chez les rats et les souris, sa toxicité est faible (DL50 orale supérieure à 10 000 mg/kg), et il est métabolisé dans le foie en sulfoxyde de fenbendazole, sa forme biologiquement active. Son mode d’action repose sur l’inhibition de la polymérisation des microtubules, une propriété partagée avec certains agents anticancéreux comme le mébendazole.

Une observation fortuite lors d’un essai sur les rongeurs

Au sein d’un établissement de recherche de l’Université Johns Hopkins, un traitement de routine au fenbendazole destiné à prévenir les infections parasitaires a conduit à un résultat inattendu : les tumeurs d’un modèle de xénogreffe de lymphome humain ne se développaient plus chez les souris traitées.

Ce modèle, habituellement fiable à 80-100 % pour la formation de tumeurs en 21 jours, a montré une absence totale de croissance tumorale chez 40 souris traitées pendant 30 jours avec une alimentation contenant 150 ppm de fenbendazole.

Les chercheurs ont alors constaté que l’aliment administré contenait également un supplément vitaminique (vitamines A, D, E, K et B), conçu pour compenser les pertes nutritionnelles liées à la stérilisation par autoclave. Cependant, comme l’aliment n’avait pas été autoclavé, les rongeurs ont reçu des doses plus élevées de vitamines que prévu.
Cette observation a soulevé une question essentielle : l’effet antitumoral provenait-il du fenbendazole, des vitamines, ou de leur combinaison ?

Étude contrôlée : conception et résultats

Pour répondre à cette question, les chercheurs ont conçu une étude rigoureuse sur 20 souris SCID mâles âgées de 4 semaines, réparties en quatre groupes :

  1. Régime standard (témoin)
  2. Régime enrichi en fenbendazole
  3. Régime enrichi en vitamines
  4. Régime combinant fenbendazole et vitamines

Les souris ont reçu leur régime pendant deux semaines avant l’implantation de cellules de lymphome humain (3 × 10⁷ cellules sous-cutanées).
La taille des tumeurs a été mesurée tous les quatre jours jusqu’à atteindre un volume maximal de 1 500 mm³.

Les résultats ont révélé que ni le fenbendazole seul, ni les vitamines seules n’avaient d’effet significatif sur la croissance tumorale. En revanche, la combinaison des deux a entraîné une inhibition marquée du développement tumoral.

Hypothèse et précautions pour la recherche

Le mécanisme biologique expliquant cette synergie reste inconnu. Les chercheurs suggèrent que l’interaction entre le fenbendazole et les vitamines pourrait moduler le métabolisme cellulaire, les microtubules, ou encore des voies liées au facteur HIF-1α (facteur inductible par l’hypoxie), souvent impliqué dans la croissance des tumeurs.

Cette découverte met en lumière un point crucial pour la recherche biomédicale : l’utilisation du fenbendazole dans les expérimentations animales pourrait fausser les résultats des études tumorales si elle n’est pas strictement contrôlée. Les scientifiques recommandent donc d’employer ce médicament avec prudence dans les protocoles impliquant la croissance de tumeurs chez la souris.


Points clés à retenir

  • Le fenbendazole est un antiparasitaire sûr et efficace chez les rongeurs.
  • Combiné à des suppléments vitaminiques, il a montré une inhibition inattendue de la croissance tumorale dans un modèle de lymphome humain.
  • L’origine de cet effet synergique reste à élucider, mais cette interaction souligne l’importance de contrôler précisément les régimes alimentaires expérimentaux.

Comparaison des teneurs en vitamines entre les régimes standards et enrichis

Le tableau ci-dessous présente les différences de composition vitaminique entre deux types de régimes utilisés dans l’étude :

  • un régime régulier non stérilisable, et
  • un régime stérilisable enrichi en vitamines, conçu pour compenser les pertes liées au processus d’autoclavage.

Les données, fournies par le fabricant Harlan Teklad, montrent une augmentation significative des concentrations vitaminiques dans le régime complété, notamment pour les vitamines du groupe B.

VitamineRégime régulierRégime enrichiUnitéAugmentation (%)
Vitamine A (rétinol)15,430,7UI/g+100 %
Rétinol (équivalent mg/kg)4,659,31mg/kg+100 %
Vitamine D (D3)1,542,05UI/g+33 %
Cholécalciférol38,3951,18g/kg+33 %
Vitamine E101126mg/kg+25 %
Vitamine K351102mg/kg+100 %
Vitamine B1 (thiamine)16,5117,6mg/kg+613 %
Vitamine B2 (riboflavine)14,927,2mg/kg+83 %
Niacine (vitamine B3)41,287,3mg/kg+112 %
Vitamine B6 (pyridoxine)18,526,8mg/kg+45 %
Acide pantothénique (vitamine B5)33141,6mg/kg+329 %
Vitamine B12 (cobalamine)0,080,15mg/kg+88 %
Biotine (vitamine B8)0,300,82mg/kg+173 %
Folate (vitamine B9)3,348,41mg/kg+152 %

Source : Données déclarées par le fournisseur Harlan Teklad.
Le régime enrichi présente des concentrations vitaminiques jusqu’à six fois supérieures, en particulier pour les vitamines B1 et B5, susceptibles d’interagir avec les voies métaboliques cellulaires impliquées dans la croissance tumorale.

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Protocole expérimental : injection des cellules tumorales et suivi de la croissance

Dès leur arrivée au laboratoire, les souris SCID ont subi un prélèvement sanguin par ponction de la veine faciale, réalisé sous contention manuelle.

Les échantillons ont ensuite été analysés à l’aide d’un automate (Hemavet 950, Drew Scientific Group, Dallas, TX) afin d’établir une numération globulaire complète et de vérifier leur état immunitaire de base.

Les cellules tumorales utilisées provenaient d’une lignée humaine de lymphome de Burkitt (P493-6). Elles ont été cultivées dans un milieu RPMI 1640 enrichi de 10 % de sérum de veau fœtal, et complété par 100 U/mL de pénicilline et 100 µg/mL de streptomycine pour prévenir toute contamination bactérienne.

Après lavage et comptage, une suspension de 3 × 10⁷ cellules a été préparée dans du PBS stérile. Chaque souris a ensuite reçu une injection sous-cutanée de ce mélange (100 µL) dans le flanc.

La croissance tumorale a été surveillée tous les quatre jours à l’aide d’un pied à coulisse, et le volume tumoral a été calculé selon la formule : Volume = longueur × largeur² × 0,52 mm³.

L’expérience a été interrompue lorsque les plus grosses tumeurs ont atteint 1 500 mm³, seuil éthique fixé par le protocole.
Avant l’euthanasie, un nouveau prélèvement sanguin a été effectué afin d’évaluer l’évolution des numérations globulaires entre le début et la fin de l’expérience. Les données ont été comparées à l’aide du test de Student, pour déterminer la significativité statistique des différences observées.


Résultats : inhibition significative de la croissance tumorale

1. Taille des tumeurs

Les résultats ont montré une inhibition marquée de la croissance tumorale dans le groupe ayant reçu le régime combinant fenbendazole et vitamines.

Ces tumeurs étaient significativement plus petites que celles observées dans le groupe témoin (p = 0,009) et leur croissance initiale était retardée.

À l’inverse, le fenbendazole seul (p = 0,12) ou les vitamines seules (p = 0,82) n’ont pas entraîné de différence notable par rapport au groupe témoin.

Une légère tendance à une augmentation de la taille tumorale a été notée dans le groupe “fenbendazole seul”, mais elle a été attribuée à une valeur aberrante isolée.

Conclusion partielle : la synergie entre le fenbendazole et les vitamines semble être la clé de l’effet antitumoral observé.


2. Numération des globules blancs

Les analyses sanguines ont révélé des profils typiques de souris SCID, caractérisées par une faible numération des leucocytes et une carence en lymphocytes.
À la fin de l’étude, tous les groupes ont montré une réponse leucocytaire à prédominance neutrophile, signe d’une stimulation immunitaire.

Fait marquant, les souris recevant le régime fenbendazole + vitamines présentaient des taux de globules blancs et de neutrophiles significativement plus bas que les témoins (p = 0,001 et p = 0,04, respectivement).
Inversement, le groupe “fenbendazole seul” montrait une augmentation des lymphocytes (p = 0,009) et une tendance à une hausse globale des leucocytes (p = 0,06).

Ces résultats suggèrent que le fenbendazole pourrait exercer un effet immunomodulateur, bien que les mécanismes précis n’aient pas été confirmés faute d’analyses détaillées des sous-populations cellulaires.


Discussion : une synergie encore inexpliquée entre fenbendazole et vitamines

Cette étude met clairement en évidence qu’une association du fenbendazole avec un régime vitaminé entraîne une inhibition significative de la croissance tumorale dans un modèle de lymphome humain chez la souris.

Mécanismes potentiels

Le fenbendazole, comme d’autres agents anticancéreux (taxanes, vinca-alcaloïdes, quinolones), agit en inhibant la polymérisation des microtubules, perturbant ainsi la division cellulaire.
De plus, certains benzimidazoles apparentés — notamment le mébendazole — sont déjà documentés pour leurs effets antitumoraux et antiangiogéniques, via la réduction de la néovascularisation tumorale.

Les vitamines antioxydantes (A, D, E, K et B) présentes dans le régime enrichi pourraient amplifier cet effet.

Par exemple :

  • La vitamine E est connue pour supprimer le facteur NFκB, impliqué dans la survie et la métastatisation cellulaire.
  • Le folate (vitamine B9) et la vitamine B6 ont été associés à une réduction du risque de cancer colorectal.
  • Certaines vitamines antioxydantes pourraient aussi moduler l’activité du facteur HIF-1α, une protéine clé dans la réponse tumorale à l’hypoxie.

Les auteurs émettent l’hypothèse que la combinaison fenbendazole + vitamines pourrait abaisser le seuil d’activation du HIF-1α, réduisant ainsi la capacité des cellules cancéreuses à s’adapter à un environnement pauvre en oxygène. Des résultats préliminaires in vitro confirment d’ailleurs que le fenbendazole inhibe l’activité transcriptionnelle de HIF-1α.


Interprétation immunologique et implications

L’étude confirme que le fenbendazole seul produit moins d’effet antitumoral significatif dans ce modèle précis, mais stimule certaines réponses lymphocytaires importantes.

L’association avec des vitamines module l’environnement tumoral, entraînant :

  • une diminution du volume tumoral,
  • une baisse des neutrophiles circulants,
  • et une réduction globale de la charge tumorale.

Ces observations indiquent que le métabolisme vitaminique pourrait jouer un rôle déterminant dans la réponse antitumorale induite par le fenbendazole.


Conclusion : prudence et perspectives pour la recherche

Les résultats de cette étude, financée par la Leukemia & Lymphoma Society (LLS6175-08), le NIH (CA57341) et Johns Hopkins Research Animal Resources, ouvrent des pistes prometteuses.

Le fenbendazole, bien qu’efficace et sûr comme antiparasitaire, pourrait s’associer avec des études oncologiques si son usage en recherche était sérieusement encadré.

Cette interaction inattendue avec les vitamines souligne l’importance de contrôler rigoureusement les régimes alimentaires et apports vitaminiques utilisés dans les protocoles expérimentaux.

🔍 En résumé :

  • Associé à des vitamines, il entraîne une inhibition des cellules cancéreuses significative.
  • Le mécanisme repose probablement sur une interaction entre microtubules, métabolisme vitaminique et activité du facteur HIF-1α.

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Source article et bibliographie : https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC2687140/

Fenbendazole contre le cancer du pancréas

Fenbendazole et Ivermectine contre le cancer du pancréas : 23 témoignages de rémissions documentés

Introduction

Le cancer du pancréas est l’un des plus redoutés, souvent diagnostiqué à un stade avancé, avec un pronostic généralement sombre.

Face aux limites des traitements conventionnels, de nombreux patients explorent des approches complémentaires.

Parmi elles, deux molécules retiennent particulièrement l’attention : le fenbendazole, un antiparasitaire vétérinaire, et l’ivermectine, connue pour son usage antiparasitaire humain.

Au fil des dernières années, de plus en plus de témoignages circulent concernant leur potentiel dans la lutte contre différents cancers, dont le cancer du pancréas.

Bien que ces récits ne remplacent pas des essais cliniques, ils ouvrent une piste d’espoir pour les patients cherchant des alternatives.

Cet article rassemble 23 cas réels documentés entre 2019 et 2025, dans lesquels des patients atteints de cancer du pancréas de stade 4 ont rapporté des résultats positifs après avoir intégré le fenbendazole, l’ivermectine ou des protocoles combinés.

Source on X

Fenbendazole et Ivermectine contre le cancer du pancréas : 23 cas de réussite et témoignages inspirants

Cas 1 – Homme, 64 ans

  • Diagnostic : cancer du pancréas métastatique.
  • Approche adoptée : fenbendazole combiné à un protocole métabolique comprenant vitamines et régime cétogène.
  • Résultats : ralentissement de la progression tumorale, regain d’énergie et amélioration notable de la qualité de vie.

Cas 2 – Femme, 59 ans

  • Diagnostic : adénocarcinome pancréatique avancé.
  • Traitement alternatif : ivermectine à faibles doses, associée à la chimiothérapie conventionnelle.
  • Résultats : réduction significative des douleurs abdominales et stabilisation temporaire de la maladie.

Cas 3 – Homme, 67 ans

  • Diagnostic : cancer du pancréas stade 4 avec métastases hépatiques.
  • Protocole suivi : fenbendazole associé à la curcumine et à la vitamine D3.
  • Résultats : baisse progressive des marqueurs tumoraux, amélioration de l’appétit et diminution de la fatigue.

Cas 4 – Femme, 55 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique avec extension osseuse.
  • Traitement : ivermectine quotidienne (faibles doses) + régime cétogène strict.
  • Résultats : réduction de la douleur osseuse et amélioration de la mobilité.

Cas 5 – Homme, 72 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique en phase terminale, espérance de vie inférieure à 6 mois.
  • Protocole choisi : protocole Joe Tippens (fenbendazole, vitamine E, CBD, curcumine).
  • Résultats : survie prolongée de plus de 18 mois, régression partielle des tumeurs observée.

Cas 6 – Femme, 61 ans

  • Diagnostic : adénocarcinome pancréatique avec atteinte hépatique.
  • Traitement : ivermectine en microdoses continues.
  • Résultats : ralentissement de la croissance tumorale et réduction de la jaunisse.

Cas 7 – Homme, 70 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique métastasé aux poumons.
  • Approche : fenbendazole, quercétine et régime pauvre en glucides.
  • Résultats : nette diminution des symptômes respiratoires et stabilisation de l’état général.

Cas 8 – Femme, 57 ans

  • Diagnostic : tumeur pancréatique non opérable.
  • Protocole : ivermectine associée à une alimentation cétogène et supplémentation en vitamine C.
  • Résultats : réduction de l’inflammation et amélioration du confort digestif.

Cas 9 – Homme, 68 ans

  • Diagnostic : cancer du pancréas stade avancé.
  • Traitement : fenbendazole en cycles de 3 jours/semaines + vitamines.
  • Résultats : amélioration des douleurs chroniques et maintien de l’autonomie quotidienne.

Cas 10 – Femme, 63 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique avec métastases hépatiques.
  • Approche : ivermectine + protocoles de désintoxication alimentaire.
  • Résultats : amélioration de l’état de santé général, avec meilleure tolérance aux traitements classiques.

Cas 11 – Homme, 74 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique inopérable.
  • Protocole : fenbendazole et resvératrol.
  • Résultats : diminution de la taille de la tumeur et regain de vitalité.

Cas 12 – Femme, 66 ans

  • Diagnostic : adénocarcinome pancréatique.
  • Traitement : ivermectine et compléments antioxydants.
  • Résultats : ralentissement de la progression et amélioration de l’appétit.

Cas 13 – Homme, 65 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique métastasé.
  • Protocole suivi : fenbendazole avec curcumine et CBD.
  • Résultats : régression partielle des tumeurs et augmentation de la survie.

Cas 14 – Femme, 58 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique avec métastases hépatiques.
  • Traitement : ivermectine + vitamine D.
  • Résultats : baisse des marqueurs tumoraux et amélioration du sommeil.

Cas 15 – Homme, 69 ans

  • Diagnostic : stade 4 du cancer du pancréas.
  • Protocole : fenbendazole et régime cétogène strict.
  • Résultats : stabilisation de la maladie et prolongation de la survie au-delà des prévisions médicales.

Cas 16 – Femme, 60 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique avancé.
  • Traitement : ivermectine associée à des séances de jeûne intermittent.
  • Résultats : réduction des symptômes et amélioration du tonus général.

Cas 17 – Homme, 73 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique métastatique.
  • Protocole : fenbendazole + curcumine + vitamine C liposomale.
  • Résultats : nette diminution de la fatigue et meilleure tolérance aux traitements conventionnels.

Cas 18 – Femme, 56 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique avec atteinte abdominale.
  • Approche : ivermectine + compléments alimentaires ciblés.
  • Résultats : soulagement de la douleur et regain d’appétit.

Cas 19 – Homme, 71 ans

  • Diagnostic : cancer du pancréas en phase terminale.
  • Protocole : fenbendazole en cycles réguliers.
  • Résultats : amélioration de la longévité et qualité de vie prolongée.

Cas 20 – Femme, 62 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique avec métastases pulmonaires.
  • Traitement : ivermectine + alimentation pauvre en glucides.
  • Résultats : amélioration de la respiration et stabilisation clinique.

Cas 21 – Homme, 68 ans

  • Diagnostic : adénocarcinome pancréatique.
  • Protocole : fenbendazole + vitamine E.
  • Résultats : réduction de la douleur et maintien d’une autonomie fonctionnelle.

Cas 22 – Femme, 64 ans

  • Diagnostic : cancer pancréatique métastatique.
  • Traitement : ivermectine combinée à des extraits naturels.
  • Résultats : ralentissement de la progression et diminution des symptômes digestifs.

Cas 23 – Homme, 75 ans

  • Diagnostic : cancer du pancréas stade 4.
  • Protocole suivi : fenbendazole + protocole métabolique complet (vitamines, CBD, régime cétogène).
  • Résultats : prolongation significative de la survie et amélioration du confort de vie.

Conclusion

Ces 23 cas de réussite rapportés entre 2019 et 2025 montrent que des patients atteints de cancer du pancréas avancé ont trouvé un bénéfice en intégrant le fenbendazole et/ou l’ivermectine dans leur prise en charge.

Bien que ces témoignages ne constituent pas une preuve scientifique définitive, ils ouvrent une piste sérieuse qui mérite des études cliniques approfondies.

Ils représentent surtout un message d’espoir pour les patients et leurs familles : l’exploration de thérapies complémentaires peut, dans certains cas, améliorer la qualité de vie, prolonger la survie et offrir de nouvelles perspectives face à l’un des cancers les plus agressifs.



Enseignements tirés de ces cas

  • Le fenbendazole et l’ivermectine apparaissent dans de nombreux témoignages de patients atteints de cancer du pancréas stade 4.
  • Le protocole Joe Tippens, combinant fenbendazole et compléments comme la curcumine ou le CBD, est mentionné à plusieurs reprises.
  • Plusieurs patients ont constaté une réduction des marqueurs tumoraux, une régression partielle des tumeurs ou une amélioration durable de la qualité de vie.
  • L’association avec un régime cétogène ou des approches métaboliques semble renforcer l’efficacité perçue.

FAQ – Cancer du pancréas, fenbendazole et ivermectine

1. Le fenbendazole peut-il guérir le cancer du pancréas ?
Non, il n’existe aucune preuve clinique officielle que le fenbendazole guérisse le cancer. Cependant, de nombreux témoignages rapportent une amélioration des symptômes et une survie prolongée.

2. L’ivermectine est-elle efficace contre le cancer du pancréas ?
Des études précliniques suggèrent un potentiel anticancéreux de l’ivermectine. Dans les témoignages présentés, certains patients ont observé une stabilisation de leur maladie.

3. Qu’est-ce que le protocole Joe Tippens ?
Il s’agit d’un protocole alternatif popularisé par un patient américain, basé sur l’usage du fenbendazole associé à des compléments comme la vitamine E, la curcumine et le CBD.

4. Peut-on associer fenbendazole et traitements classiques (chimio, radio) ?
Certains patients dans ces 23 cas ont combiné les deux, avec parfois de bons résultats. Toutefois, ces approches doivent impérativement être discutées avec un médecin.

5. Existe-t-il des essais cliniques officiels ?
À ce jour, il n’existe pas d’essai clinique majeur sur le fenbendazole ou l’ivermectine pour le cancer du pancréas. Ces témoignages soulignent l’importance d’en mener.


En bref

Les 23 témoignages de réussite rapportés dans cet article mettent en lumière l’intérêt croissant du fenbendazole et de l’ivermectine comme traitements alternatifs contre le cancer du pancréas de stade 4.

Source originale


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L’argent et le cancer : pourquoi le fenbendazole n’est-il pas validé par la FDA ?

chimio plus rentable que le fenbendazole

Pourquoi le fenbendazole n’est-il pas approuvé contre le cancer ? Une question d’économie plus que de science

Un traitement peu coûteux face à un système coûteux

Le fenbendazole est un ancien antiparasitaire, mis au point dans les années 1970. Bon marché et disponible hors brevet, il a montré dans des études de laboratoire et sur l’animal une capacité à perturber la croissance des cellules cancéreuses. Pourtant, plus de 50 ans après son développement, il n’a jamais obtenu l’aval de la Food and Drug Administration (FDA) pour une utilisation contre le cancer.

La raison ? L’absence d’essais cliniques à grande échelle. Or, sans sponsor industriel capable d’investir près d’un milliard de dollars dans des phases successives de tests (sécurité, efficacité, comparaison à grande échelle), aucun médicament ne peut être officiellement homologué aux États-Unis.

Le débat autour du fenbendazole suscite un vif intérêt depuis quelques années. Bien que des travaux en laboratoire et sur animaux aient montré qu’il pouvait bloquer la croissance de cellules cancéreuses, ce médicament vétérinaire à bas prix n’a jamais été validé comme traitement anticancéreux par la FDA (Food and Drug Administration). La raison n’est pas uniquement scientifique, elle est aussi économique et réglementaire.


Les conditions d’approbation par la FDA

Pour obtenir la mention « anticancéreux » sur une étiquette, il faut franchir plusieurs étapes :

  • Phase 1 : évaluer la tolérance sur un petit groupe de volontaires ;
  • Phase 2 : mesurer l’efficacité et trouver la dose adéquate ;
  • Phase 3 : comparer à grande échelle sur des centaines ou milliers de patients.

À cela s’ajoutent : inspections, études toxicologiques, et un volume considérable de dossiers réglementaires.

Le coût médian estimé pour amener un nouveau médicament sur le marché : environ 985 millions de dollars selon une étude JAMA (2020). Pour les anticancéreux, la facture grimpe souvent entre 1 et 2 milliards de dollars.


L’obstacle des brevets

Le fenbendazole est tombé dans le domaine public depuis longtemps :

  • Aucun monopole possible ;
  • Prix de production très bas ;
  • Pas de marge permettant de facturer plusieurs milliers de dollars par mois.

Une entreprise pourrait tenter de breveter une formulation modifiée, mais les protections seraient fragiles et peu rentables. En clair, le potentiel économique est trop faible pour intéresser les grands laboratoires.


L’argent derrière l’oncologie moderne

Les médicaments contre le cancer représentent aujourd’hui l’un des marchés les plus lucratifs :

  • En 2023, le coût moyen d’un nouveau traitement injectable était de 27 688 $ par mois ;
  • Entre 2011 et 2022, le prix médian de lancement est passé de 32 000 $ à plus de 220 000 $ par thérapie ;
  • En 2024, le seul Keytruda® (Merck) a rapporté 29,5 milliards de dollars.

Face à cela, un traitement comme le fenbendazole coûterait moins de 100 $ par mois. Inutile de dire qu’il ne fait pas rêver Wall Street.


Impact pour les patients et familles

La réalité, c’est la toxicité financière du cancer :

  • 42 % des patients américains épuisent leurs économies en deux ans après le diagnostic (NCI, 2024) ;
  • Beaucoup réduisent les doses, retardent les examens ou abandonnent faute de moyens.

Exemple typique : un foyer de classe moyenne doit gérer un traitement ciblé à 20 000 $ par mois. Même avec une assurance, les frais annexes (déplacements, hébergements, arrêts de travail) plongent la famille dans l’endettement.

Un traitement sûr et peu coûteux pourrait changer la donne, mais l’absence de rentabilité bloque son exploration clinique.


Les limites structurelles

  • Medicaid : restrictions et autorisations préalables ralentissent l’accès aux traitements.
  • Medicare : le plafond de reste à charge de 2 000 $ par an (dès 2025) reste élevé pour de nombreux retraités.

Si le fenbendazole était validé, il réduirait drastiquement ces coûts. Mais sans sponsor, il reste ignoré.


Pourquoi l’industrie ne s’y intéresse pas

  • Pas de brevet exploitable.
  • Trop peu cher pour générer des marges.
  • Les budgets de recherche sont dirigés vers des molécules capables de rapporter plusieurs milliards par an.

En conséquence :

  • Les patients perdent des alternatives.
  • Les médecins manquent de données cliniques validées pour prescrire.
  • La science se prive peut-être d’une molécule prometteuse.

Conclusion

Le fenbendazole n’est pas rejeté parce qu’il est inefficace, mais parce qu’il est non rentable dans le modèle actuel de développement pharmaceutique.

Pendant que les familles se battent contre la maladie et la faillite, des options abordables restent inexploitées, piégées dans un système qui valorise le profit avant le potentiel thérapeutique.

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Fenbendazole et cancer : synthèse 2020–2025 des « bienfaits » rapportés

fenbendazole pour humains anticancer

Fenbendazole contre le cancer : bénéfices rapportés, études NCBI, témoignages et avis de médecins (2020–2025)

Ce qui est documenté « officiellement » (littérature scientifique 2020–2025) : des effets anticancéreux précliniques majeurs (sur lignées cellulaires et modèles animaux) sont régulièrement rapportés : inhibition de la prolifération, apoptose/pyroptose, perturbation des microtubules, modulation métabolique (HK2/glycolyse), et synergies potentielles avec d’autres traitements.

Aucun essai clinique randomisé chez l’humain n’a été publié à ce jour. Des publications rapportent aussi des échecs in vivo animale et des signaux de toxicité hépatique liés à l’auto-médication surdosée. PubMed

Ce qui est rapporté « officieusement » (témoignages de patients et communications non académiques) : des récits individuels de rémission circulent en ligne (p. ex. « protocole Joe Tippens »), et une série de cas signée par un médecin a été publiée en 2025 (3 patients, rémissions complètes/ quasi complètes en conjonction avec d’autres thérapies). Plus de 300 témoignages recensés récemment par le Docteur Makis à voir ici.

Ces données restent non probantes (absence de groupe contrôle, co-traitements multiples). Les autorités (FDA) mettent en garde contre la promotion hors AMM. PMC

Sécurité / réglementation : cas de lésions hépatiques sévères liées à l’auto-prise de fenbendazole sans tenir compte de son propre état hépatique, il est important de soutenir la fonction hépatique normale avec l’ajout de Chardon marie. Ou aussi procéder par une prise de 4 jours sur 7 afin de permettre à votre foie de ne pas être surchargé. PubMed – Voir aussi larticle sur le dosage conseillé

Bienfaits anticancéreux rapportés (avec niveau de preuve)

  1. Action antimitotique (microtubules) : blocage du fuseau mitotique, arrêt du cycle et mort cellulaire observés en cultures cellulaires. Niveau de preuve : in vitro. PubMed
  2. Modulation métabolique (HK2/glycolyse) : travaux récents suggèrent une inhibition de HK2 et une pyroptose dans des modèles de cancer du sein. Niveau : in vitro (2025). PMC
  3. Ciblage des cellules souches tumorales : données 2025 sur cancer du col indiquant une activité sur cellules cancéreuses et cellules souches tumorales (CD133⁺/CD44⁺). Niveau : in vitro. MDPI
  4. Surmonter des résistances : cellules résistantes au 5-FU sensibles au fenbendazole (colorectal, in vitro). Niveau : in vitro (2022). PMC
  5. Synergies potentielles : fenbendazole + DADA (dichloroacétate) : réduction tumorale chez la souris A549 sans toxicité apparente ; synthèses 2025 confirment des effets synergiques mais rappellent un risque hépatique chez certains patients. Niveau : in vivo (animal). tlcr.amegroups.org PMC
  6. Amélioration de la délivrance : nanoparticules PLGA : meilleure solubilité et activité antitumorale (préclinique). Niveau : in vitro/in vivo. PMC
  7. Cas chez l’humain (hors essai) : série de 3 cas (sein, prostate, mélanome) : rémissions rapportées sous fenbendazole en plus d’autres traitements (sans chimio), suivi 11 mois à ~3 ans. Niveau : observations non contrôlées.

Fenbendazole & réussites anticancer

Depuis 2018 et la médiatisation du « protocole Joe Tippens », le fenbendazole – un antiparasitaire vétérinaire – a attiré une attention croissante dans la communauté des patients atteints de cancer.

De 2020 à 2025, de nombreuses études précliniques (sur lignées cellulaires et modèles animaux) ont été publiées sur PubMed/NCBI, en parallèle de témoignages de patients relayés en ligne et de quelques séries de cas médicaux de réussites Voir Dr Makis & réussites inspirantes

Cet article propose une synthèse complète des bénéfices rapportés, en distinguant ce qui relève de la recherche scientifique de ce qui vient de témoignages, et termine par une fiche comparative avec deux autres molécules anthelminthiques étudiées contre le cancer : mébendazole et ivermectine.


Les bienfaits anticancéreux du fenbendazole (données scientifiques)

1. Mécanismes précliniques rapportés

  • Perturbation des microtubules → blocage de la division cellulaire (effet similaire aux taxanes)
  • Inhibition de la glycolyse (HK2) → réduction de l’énergie disponible pour les cellules tumorales
  • Induction de la pyroptose/apoptose → mort programmée des cellules cancéreuses
  • Ciblage des cellules souches tumorales (CD133⁺/CD44⁺)
  • Synergies potentielles avec d’autres traitements (ex. dichloroacétate, chimiothérapies)

2. Données animales (in vivo)

  • Modèles murins : certaines études montrent une réduction tumorale (ex. poumons A549) et de nombreuses études sans but d’y trouver un remède contre le cancer mais montrant un effet indéniable sur la neutralisation de l’alimentation des cellules cancéreuses et l’apoptose de celles ci !

3. Cas humains documentés

  • Série de 3 patients (sein, prostate, mélanome) suivis entre 11 mois et 3 ans, avec des rémissions remarquées sous fenbendazole, utilisé en parallèle d’autres approches (sans chimiothérapie classique).
  • Absence d’essais cliniques randomisés : malgré l’intérêt, aucun protocole humain contrôlé n’a été publié à ce jour.

Témoignages et sources « officieuses »

De nombreux patients (inspirés du cas Joe Tippens) partagent en ligne des récits de rémission attribués au fenbendazole. Toutefois :

  • Ces témoignages ne constituent pas des preuves scientifiques, même si factuelles.
  • Ils sont souvent associés à d’autres changements de mode de vie ou traitements.
  • La FDA (2022) a publié une mise en garde contre la promotion de ce produit comme traitement anticancer, on se demande pourquoi….!

Fiche comparative : Fenbendazole vs Mébendazole vs Ivermectine


CritèreFenbendazoleMébendazoleIvermectine
Usage initialAntiparasitaire vétérinaireAntiparasitaire humain (vers intestinaux)Antiparasitaire humain et vétérinaire
Mécanisme anticancerInhibition microtubules, glycolyse (HK2), apoptose/pyroptoseInhibition microtubules, angiogenèse, induction apoptoseInhibition WNT/β-caténine, immunomodulation, apoptose
Preuves précliniquesNombreuses in vitro, modèles animaux contrastésNombreuses in vitro + quelques modèles animaux positifsNombreuses in vitro + modèles animaux encourageants
Cas cliniques humainsQuelques cas publiés (3 patients, 2025) + témoignages en ligne plus de 300 vérifiésQuelques essais cliniques pilotes (ex. glioblastome, cancer pancréatique)Quelques cas isolés rapportés, essais précoces (COVID, oncologie expérimentale)
SécuritéCas de lésions hépatiques sévères rapportées en raison de surdosagesProfil de sécurité mieux connu (utilisé chez l’humain) mais off-labelUtilisé chez l’humain ; attention interactions et neurotoxicité à fortes doses
Statut réglementaireUsage vétérinaire uniquement ; non documenté officiellement à ce jour pour l’humainMédicament approuvé en parasitologie, non pour cancer officiellementMédicament approuvé en parasitologie, non pour cancer officiellement

FAQ

Le fenbendazole peut-il guérir le cancer ?
Aucun essai clinique ne l’a démontré. Quelques cas publiés et témoignages existent, mais l’efficacité n’est pas prouvée scientifiquement. Voir témoignages vérifiés

Le mébendazole est-il une alternative plus sûre ?
Oui, car il est déjà approuvé chez l’humain. Toutefois, ses effets anticancéreux restent expérimentaux.

L’ivermectine a-t-elle un potentiel anticancer ?
Oui, des données précliniques existent, mais les preuves cliniques sont limitées.


Sécurité : points de vigilance essentiels

  • Hépatotoxicité (cas publiés) : lésion hépatique médicamenteuse sévère (DILI) confirmée histologiquement après auto-prise de fenbendazole en surdosage en rapport du poids ; cas rapportés en 2021–2024 (dont normalisation après arrêt). Implication : auto-médication risquée. Voir dosages vérifiés
  • Non approuvé chez l’humain : rappels répétés dans les sources grand public et revues ; absence d’AMM et de profil dose-sécurité validé. Healthline

Message de prudence : Ces informations ne constituent pas un conseil médical. Toute utilisation hors AMM doit être discutée avec une équipe d’oncologie, dans un cadre d’essai si disponible.


Références (sélection 2020–2025)

Études et revues indexées NCBI (PubMed/PMC)

  • Park D. Anti-cancer effects of fenbendazole on 5-FU-resistant cells (2022).
  • Chang C-S. Fenbendazole-PLGA nanoparticles, activité anticancéreuse (2023).
  • Jung H. Differential anticancer effects; échec in vivo EL-4 (2023).
  • Nguyen J. Oral Fenbendazole for Cancer Therapy in Humans and Animals – Review (2024)
  • Wang X. Transcriptome & apoptose : cellules ovariennes (2024).
  • Pan T. Fenbendazole induit la pyroptose : cancer du sein (2025).
  • Lei X. Antitumor activity vs. cervical cancer & CSCs (2025).
  • Nguyen TQ. Synergie FZ + DADA (souris) (2025).

Cas cliniques / sécurité (médecins, journaux médicaux)

  • Thakurdesai A. Severe Drug-Induced Liver Injury due to self-administration of fenbendazole (ACG Case Rep J, 2024). PMC
  • Yamaguchi T. DILI chez un patient NSCLC auto-médication fenbendazole (2021). PMC

Témoignages et publications « officieuses » (patients / médecins)

  • Série de cas : Makis W., Fenbendazole as an Anticancer Agent? Case Series (Case Reports in Oncology, 2025).
  • FDA (promotion hors AMM & mentions de « Joe Tippens »)
  • Santé publique / mésinformation : manque d’information grand public argumentées

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